Zeus, le cheval métallique qui a galopé sur la Seine pour l’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, va passer l’été au Mont-Saint-Michel. Il est arrivé ce mercredi matin par hélitreuillage.
Star de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024, Zeus poursuit sa tournée à travers l’Hexagone. Le cheval mécanique, qui avait fendu l’eau de la Seine, est arrivé ce mercredi matin au Mont-Saint-Michel, et les images sont spectaculaires.
Et pour cause, l’installation de cette sculpture de près de 2 mètres de haut a eu lieu par hélitreuillage sur la Terrasse de l’Ouest de l’abbaye du Mont-Saint-Michel, qui offre une vue imprenable sur la baie.



Pour l’occasion, son créateur Aurélien Meyer, fondateur et créateur d’Atelier Blam, une société française de design basée à Nantes, était présent sur place.
«Voir Zeus s’élever face à l’Abbaye du Mont-Saint-Michel est une émotion particulière. Nous avons imaginé ce cheval comme une créature onirique, capable de dialoguer avec les lieux qu’il traverse. L’installer ici, c’est créer une rencontre entre deux monuments – l’un millénaire, l’autre contemporain – qui tous deux racontent une histoire de dépassement, de vision et de collectif», a-t-il déclaré.
visible jusqu’au 7 septembre
Accessible librement au public, sans supplément au droit d’entrée du monument, le cheval articulé à l’allure futuriste restera tout l’été sur ce joyau architectural, classé au patrimoine mondial de l’Unesco. Les visiteurs du monde entier pourront admirer cette œuvre monumentale jusqu’au 7 septembre prochain.
Dans le détail, l’œuvre sera visible de 9h à 19h en juillet et août, et de 9h à 18h en septembre. Jusqu’au 31 août, on pourra également rencontrer Zeus tous les soirs, de 19h30 à minuit, dans le cadre du nouveau parcours nocturne de l’abbaye intitulé «Rêve de Lune».
Après quoi, le cheval terminera son voyage à Nantes, là où tout a commencé. Réalisée en collaboration avec l’entreprise Sanofi, cette oeuvre incarne des valeurs de résilience, d’excellence de solidarité et de paix. Composée principalement d’aluminium, elle a nécessité un an de travail et été conçue grâce à des techniques variées mêlant savoir-faire traditionnels et modernes, tels que le martelage de la tôle, l’impression 3D ou encore l’argenture.
Pour mémoire, c’est l’astronaute français Thomas Pesquet qui avait porté la flamme des JO sur les remparts du Mont-Saint-Michel, le 31 mai 2024.
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