
Châtenay-Malabry, dans les Hauts-de-Seine (92), s’offre un nouveau poumon vert avec l’ouverture du Parc de la Roseraie. Ce parc départemental de huit hectares, classé Monument historique, invite à la flânerie sous les frondaisons, entre arbres remarquables du XIXe siècle et trésors du passé, comme le manoir de la comtesse de Boigne ou les vestiges de la maison Arouet, clin d’œil à la famille de Voltaire.
Châtenay-Malabry met le vert à l’honneur avec le Parc de la Roseraie ! Depuis le lundi 4 août 2025, ce nouveau parc départemental de huit hectares, ouvre ses allées au public. Classé Monument historique et niché entre le centre ancien et l’avenue de la Division Leclerc, ce nouvel espace enrichit le patrimoine naturel de la commune.
Autrefois occupé par une partie du CREPS Île-de-France (Centre de Ressources, d’Expertise et de Performance Sportive), le site a été réaménagé après les travaux liés aux Jeux olympiques de 2024. Les activités sportives ont été regroupées dans la partie haute de l’espace, libérant 8 hectares boisés en contrebas. Alors hop, le département des Hauts-de-Seine (92) et la municipalité ont sauté sur l’occasion pour transformer ce coin de nature en écrin ouvert à tous, accessible tous les jours via la rue du Docteur Le Savoureux ou l’avenue de la Division Leclerc (face au tramway T10 « Théâtre La Piscine »). Pour l’instant, chiens et vélos patientent à l’entrée, en attendant des aménagements sur mesure.
Au Parc de la Roseraie, nature et passé se donnent rendez-vous sous les frondaisons. Cinq arbres remarquables du XIXe siècle sont classés, dont un majestueux hêtre pourpre, un pin de Corse et un platane à quatre troncs. Ici, on flâne sous les feuillages, on longe les plans d’eau, on croise des oies bernache avec leurs petits, on aperçoit écureuils et renards, et on se pose sur les pelouses, notamment celle en face du manoir de la comtesse de Boigne. Sans oublier d’admirer les vestiges de la maison Arouet, autrefois liés à la famille de Voltaire.
Pour sécuriser et embellir ce poumon vert, près de 1 000 arbres ont été inventoriés, deux hêtres pourpres sauvés et des zones dédiées à la biodiversité créées. Les troncs morts conservés en chandelles servent désormais de refuge aux chauves-souris et autres petits habitants de la forêt.
Et ce n’est que le début ! Cette ouverture lance un ambitieux plan départemental visant à ajouter 50 hectares de verdure dans les Hauts-de-Seine. De quoi respirer, se ressourcer et se mettre sérieusement au vert !
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